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2015-01-06 Un nouveau modèle d’insuffisance ovarienne prématurée

Mis en ligne par janvier 6, 2015

L’étude d’un nouveau modèle murin d’insuffisance ovarienne prématurée apporte un nouvel éclairage sur ces deux aspects encore mal connus de la physiologie ovarienne. Cette étude a été menée conjointement par des chercheurs de l’Unité BFA (équipe Physiologie de l’Axe Gonadotrope) et de l’Institut Pasteur (Génétique Fonctionnelle de la Souris, CNRS URA 2578).

Publiée dans Cell Death and Differentiation, cette étude identifie le rôle clé du gène Omcg1 dans le maintien de l’intégrité du génome de l’ovocyte. Elle montre aussi qu’un remodelage du tissu ovarien après la perte ovocytaire permet, de façon étonnante, d’assurer une activité endocrine cyclique et ceci en absence de toute croissance folliculaire.

Les communiqués de presse sont consultables sur les sites :

  • du CNRS :

    http://www.cnrs.fr/insb/recherche/parutions/articles2014/m-cohen.html
  • de l’université Paris Diderot :

    http://www.univ-paris-diderot.fr/sc/site.php?bc=recherche&np=pageActu&ref=6843